Jeudi 4 juin 2020

La quête de la vérité

Je suis le Tout Puissant, le toujours Abordable. Mes enfants, venez à Moi, qui vous aime et qui désire votre affiliation à Mon Sacré Cœur. Je suis le Tout Aimant et chacun d’entre vous M’est une personne en particulier. Vous êtes vous-mêmes et Je suis le Très Haut qui vous veut à Mes côtés, pour Moi, pour vous, pour nous deux.

Ces paroles sont pour vous, pour chacun d’entre vous. Personne n’est exclu de Mon Amour, personne ne M’est inconnu. Je vous veux tous mais tous ne se laissent pas toucher. Certains sont touchés mais ils ont peur de se laisser aller à Ma douceur. Ils croient qu’il est stupide de M’aimer, alors ils crânent et se braquent, tandis qu’il suffit d’ouvrir son cœur et de venir à Moi. En s’agenouillant, ils perdraient leur superficialité, ils se mettraient au bon diapason, comme la clé de sol qui donne le ton. Que l’amour de Dieu soit avec tous ceux qui se laisseront toucher.

Quand l’amour de Jésus-Christ frappe à la porte d’une âme, celle-ci ouvre sa porte. Je savais qu’elle M’ouvrirait. Je ne frappe pas en vain, mais il arrive qu’une âme qui avait ouvert sa porte, ne l’ouvre plus de nouveau. Le nombre d’âmes que J’ai appelées, qui M’ont écouté mais ne M’ont pas suivi, sont nombreuses. Ce sont les graines qui tombent dans des sols asséchés et ne poussent qu’avec peine. Ces grains sont nombreux et ils se perdent comme le dit le dicton : qui n’avance pas recule. Ces âmes qui ne s’attardent plus à M’écouter sont parmi celles dont J’ai dit : Je les vomirai (Ap 3,16). Je ne les poursuivrai plus de Ma Providence, Je les laisserai aux conséquences de leurs actes. C’est ainsi que J’agis avec ceux qui ne Me désirent pas auprès d’eux : Je les laisse à la conséquence de leurs actes.

Le monde est souvent un juge implacable et parfois longtemps après le méfait, car il est rare d’échapper aux conséquences de ses actes. Les hommes qui commettent ces méfaits semblent souvent échapper à la punition, mais quand celle-ci les rattrape, elle est souvent sans miséricorde ni pitié.

Quand une âme s’égare, elle se croit audacieuse mais c’est absolument l’inverse. Elle est lâche quand elle se croit brave, elle est faible et se croit forte. Les âmes qui se croient fortes sont nombreuses mais si elles étaient attachées à leur Maître, Jésus-Christ, elles se sauraient faibles – ce qu’elles sont – et c’est pourquoi elles ont besoin de Lui. C’est Lui qui est leur force, c’est Lui qui est leur courage, c’est Lui qui est leur boussole. Quand un être s’attache à Jésus-Christ, il s’attache à Son Maître. S’il ne le fait pas, il n’aura pas de maître, par de guide, pas de balise. Comment avancera-t-il sans ces rambardes qui lui assurent une marche sans déviation ? Il ne pourra avancer de lui-même et le démon lui fera croire qu’il avance correctement. Il avancera et s’enfoncera dans ses péchés, cette manière de faire qui le mènera en enfer.

Les hommes qui marchent ainsi sans l’aide de Mon Sacré-Cœur, de Mon Amour, de Ma Prévenance, se perdent ; ils donnent beaucoup trop d’importance aux choses de la terre. Il faut, bien sûr, œuvrer sur la terre pour gagner le Ciel, mais les œuvres de damnation mènent ailleurs. Leurs chemins ne se rencontrent pas, l’un est droit et constant, l’autre est jalonné d’attraits et de lucioles trompeuses.

Ces hommes et ces femmes qui renoncent à Me suivre, Je renonce à les aider de Ma Providence, mais Je suis auprès d’eux dès qu’ils se tournent vers Moi. Je ne les lâche pas de Mon regard et s’ils Me regardent, aussitôt Je suis à leurs côtés. Je les aide à redresser leur pas mais plus ils M’ont laissé de côté, plus il leur est difficile de se convertir.

La conversion est un état d’âme qui permet de comprendre qui est Dieu, quelle est Sa prévenance et quels sont les devoirs du converti envers Lui. Oui, le chrétien a des devoirs envers Dieu, ceux-ci sont détaillés dans les Commandements de Dieu. Il y a Dix Commandements et ceux-ci sont aussi impérieux au temps de Moïse qu’aujourd’hui. Ces Commandements sont pour tous les temps.

L’apôtre saint Paul écrivit dans son épitre à Timothée (2 Tim 4,3) « qu’un temps viendra où les hommes ne supporteront plus la saine doctrine ». Ce temps est maintenant. Ce temps où chaque homme aura sa vision de la vie, son interprétation des vérités ou de ce qu’il croit être la vérité, mais ce sera plutôt le mensonge, façonné par celui que J’appelais de Mon temps sur la terre « Prince du Mensonge ». Le démon trafique la vérité tandis que le Seigneur Jésus-Christ l’exprime.

L’attitude du croyant, s’il ne comprend pas les vérités catholiques, devrait être à l’image de l’option suivante : puisque la Sainte Eglise catholique professe cette doctrine, il me faut essayer de la comprendre puisqu’elle est la vérité. Attelez-vous, Mes enfants, à questionner pour comprendre, non à réfuter par défaut de compréhension. C’est une grande faute, mais habituelle, de discuter ce qu’on ne comprend pas, alors qu’il faudrait au contraire y réfléchir et essayer de comprendre pourquoi telle ou telle vérité est vraie et non optionnelle.

Que la sagesse de Dieu vous éclaire et vous accompagne dans cette quête de la vérité. Je vous bénis.