Samedi 7 novembre 2020
Les animaux
Un animal est, par nature, attaché à l’homme mais le péché originel a rendu les hommes injustes à leur égard.
La nourriture qu’ils obtiennent en les mangeant est justifiée parce que Je le leur ai permis (Gn 9, 2) mais non en les faisant souffrir avant et pendant leur mise à mort. La mise à mort sanglante et cruelle est un péché que Je punirai dans le monde éternel.
Le purgatoire est rempli d’âmes dont la plus grande faute a été la mise à mort cruelle des animaux. L’absence de bonté à leur égard est injustifiée, les animaux sont des victimes innocentes et, même si elles sont inférieures, l’innocence abîmée est condamnable.
Les animaux réfléchissent, ils ont peur comme ils peuvent aimer et ils dépendent largement des hommes pour leur espace de vie. Ceux qui les traitent comme des objets se trompent et ils devront reconnaître leur erreur quand le jugement de leur âme sera leur état présent.
Les animaux sont des aides et toute aide doit être respectée.