L’humanité

Dimanche 30 mai 2021

Soyez attentifs aux signes des temps

Quand J’écris pour le monde, Je lui enseigne la Vérité comme Je l’ai fait lors de Ma vie sur la terre. J’ai prêché la vérité de diverses manières, avec clarté et en paraboles, et Je n’ai jamais varié. Mon enseignement était nouveau sans l’être, il était dans la continuité des vérités enseignées par les prophètes, mais l’amour de Dieu était mis en lumière comme jamais auparavant. La religion catholique, à l’inverse de toutes les religions qui l’ont précédée, est une religion d’amour. Non un amour pâle et passif, mais un amour exigeant qui demande à l’homme d’aimer Dieu en paroles et en actions, en œuvres et en charité. L’amour de Dieu est ardent, passionné mais contrôlé, exigeant et charitable. On ne peut aimer à moitié, on ne donne pas à moitié, on s’implique, on ne recule pas. Quand on aime, on donne et on se donne, tout ce qu’on retient vient d’un manque d’amour, vient de l’égoïsme.

Le Seigneur Jésus a aimé parfaitement, il a enseigné sans répit, il s’est fatigué pour apporter la Parole de Dieu dans toutes les bourgades du nord au sud et de l’est en ouest ; et lorsque la moisson fut prête, Il S’est offert Lui-même sur la Croix pour expier les péchés de toute l’humanité. Il a laissé après Lui les apôtres et le Saint Esprit qui sanctifie l’Eglise catholique et la vivifie jusqu’à la fin du monde.

Le mal n’est pas ôté de la création, non, mais les moyens pour le surmonter ont été confiés à la Sainte Eglise. Elle a les sacrements au nombre  de sept et elle a reçu la mission comme mère, d’élever ses enfants à la sainteté et de leur en donner les moyens.

Vous, Mes enfants, êtes aussi ses enfants, Je suis la Tête de la Sainte Eglise qui est Mon épouse, votre mère. Vous avez confiance en elle et vous avez raison mais si votre mère s’écarte du droit chemin, vous qui êtes ses enfants, vous avez le droit de la secourir et de la ramener sur le chemin de la vérité. Relisez les paroles de Ma très Sainte Mère à La Salette, en 1846, elle s’est exprimé clairement et les temps annoncés sont votre présent. Ma servante Mélanie, la réceptrice de ses paroles, a été persécutée le restant de sa vie, ne trouvant que peu d’accueil et d’acceptation de ses paroles. Aujourd’hui encore, les hommes d’église dans leur grande majorité, tout en reconnaissant ce lieu d’apparition de Ma Mère, ne réfléchissent pas à la portée de ses avertissements et ne s’amendent pas pour s’y conformer. Ma Mère à La Salette s’est montrée pleurant et les deux enfants qui la voyaient en étaient alarmés.

La situation actuelle dans la sainte Eglise catholique est alarmante et il n’est pas de jours où l’on n’entende des déclarations non conformes à Mon enseignement. Mes fils ecclésiastiques sont nombreux à avoir oublié l’enseignement de la sainte Eglise catholique, beaucoup prêchent selon leur ressenti et non plus selon la saine théologie ou la saine moralité.

Mon amour pour les hommes est tel que Je ne laisserai plus le monde partir à sa perte alors que Je suis mort sur la Croix pour le sauver. Saint Augustin d’heureuse mémoire écrivait :

Si vous temporisez, point de retour de notre part, si votre bras vengeur nous frappe, nous nous rebutons.
Dans les châtiments, nous confessons nos fautes ; mais à peine vous êtes-vous éloigné, que déjà nos larmes sont oubliées.
Si votre bras s’abaisse nous promettons tout ; mais le glaive reste-t-il suspendu ? Nous ne tenons plus aucun compte de nos promesses.
S’il arrive que vous frappiez, nos cris de pitié s’élèvent vers vous ; à peine avez-vous pardonné, que déjà nous provoquons de nouveau votre juste vengeance.
Ah ! Seigneur, voilà devant vous des coupables en aveu : si vous ne nous faites grâce, nous le savons, une juste sentence nous frappera.

Oui, Mes enfants, soyez attentifs aux signes des temps. Je viendrai comme un voleur non pour ceux qui veillent mais pour les autres qui ne s’attendent pas à ce qui vient.  Je viens bientôt, oui, Je viens.

Que l’amour de Dieu s’enracine en vos âmes et soyez dans la joie car Je viens, Je suis pratiquement là !