Mercredi 28 juillet 2021
Les passions
Que Dieu soit béni et que tout ce qu’Il fait le soit aussi. Quand Dieu crée, Il bénit toujours ce qu’Il fait. Il avait créé Adam et Eve et ces deux premiers êtres humains étaient bénis de Lui. Ils n’ont pas été à la hauteur de leur bénédiction mais chaque fois que Dieu agit, Il le fait en y mettant Son Amour, Sa Joie, Son Dévouement et Sa Bénédiction. Quand Il créa les animaux, les végétaux, la terre et tout ce qu’elle est, Il les bénit et leur donna le meilleur de ce qu’ils sont.
C’est ainsi que plus les animaux sont proches de l’homme, plus ils lui ressemblent et plus leur amitié est réelle. L’homme aime en général son cheval, son âne, son chien, son chat et tous les animaux dont il s’occupe. Ils sont créés l’un pour l’autre et l’un avec l’autre. L’homme est le chef, les animaux lui sont soumis et s’il est un bon maître, les animaux sont heureux de le voir et de travailler pour lui. Certains hommes sont cruels ou égoïstes, ou sans humanité, et les animaux en souffrent.
Adam, en donnant des noms aux animaux, ne trouva pas d’aide qui lui était parfaitement assorti (Gn 2, 20) et, bien qu’il ne fut pas seul, entouré de ces animaux qui lui étaient soumis, il était incomplet. Dieu lui fit alors une compagne, tirée de ses os afin qu’elle lui fut semblable et il se reconnut en elle. C’est la femme, créée par Dieu pour être unie à l’homme et qu’ensemble ils ne fassent plus qu’un. La femme et l’homme, l’homme et la femme, deux en une seule chair, ainsi dit Dieu.
Lorsque Dieu créa la femme, il la donna à l’homme, de même que lors d’un mariage catholique, l’homme et la femme sont unis en une seule chair comme au premier temps de l’humanité. Un homme, une femme, l’un pour l’autre et l’un avec l’autre, telle fut la création de l’homme et de la femme et telle est la manière dont l’humanité doit continuer à vivre et à se comporter.
L’homme ou la femme qui ne veut pas se comporter selon la loi divine en essayant de s’unir légalement à un genre qui est le même que le sien, est coupable d’un méfait qui contrevient directement à sa nature et à la volonté de Dieu. Il n’y a pas de dérogation admise par le Très Haut dans l’ordre de la nature qu’Il a Lui-même établi, Il a fixé Ses lois dans la création et nul n’est en droit de Le contredire. Ceux qui le font ne recevront ni Son satisfecit ni même Son indulgence. Ceux qui le font sont en opposition avec la loi qu’Il a fixée dans la nature et qui s’appelle la ‘loi naturelle’. L’homme n’est pas habilité à changer cette loi qui vaut du début à la fin du monde et ceux qui, abusant de leurs connaissances scientifiques en ces domaines, agissent comme des apprentis-sorciers – ce qu’ils sont vraiment -, seront très sévèrement punis dans ce monde et dans l’autre.
Quand un homme ou une femme ressent en lui ou en elle cette attirance contre nature, la raison devrait l’en écarter. Si cet attrait est fort, il n’est pas plus fort que l’attrait naturel d’un homme et d’une femme entre eux. Cet attrait est à diriger, à contrôler, à raisonner. Tout attrait est à diriger, à contrôler et à raisonner, l’homme est doté d’une raison, d’une intelligence et d’une volonté or toute œuvre accomplie est le fruit de son action volontaire et, en général, réfléchie. Quand un homme se marie, il y réfléchit et il s’engage après mûre réflexion. Les mariages hâtifs sont souvent irréfléchis et n’offrent pas la garantie de la durabilité. Ainsi donc l’attrait ne suffit pas pour s’engager durablement et tout attrait doit être bridé.
Dieu a créé l’homme pour le Ciel, non pour assouvir toutes ses passions comme le démon, lui, l’y pousse. Les passions doivent être bridées, contrôlées et régulièrement dirigées pour plaire à Dieu et marcher dans Sa lumière.
Les passions peuvent être des moteurs mais elles doivent toujours être maîtrisées et dirigées, à l’image d’un cheval fougueux qui fait la joie de son maître par sa hardiesse et son obéissance. Le monde actuel a laissé la sauvagerie des passions diriger la société et cette sauvagerie est l’œuvre de la haine du démon qui se sert des passions pour damner l’homme et détruire la terre.
Reprenez-vous, Mes enfants, revenez à la sobriété de vos aïeux qui révéraient Dieu et l’Eglise, et qui respectaient la loi naturelle et les Dix Commandements. Revenez à l’église, au respect du dimanche qui est le jour du Seigneur, à la convenance qui doit exister entre les hommes et les femmes et qui est le gage des foyers stables et des familles nombreuses. La famille est la première cellule de la société et une cellule instable déstabilise l’ensemble dans lequel elle a un rôle à tenir et une place à maintenir.
Les familles que l’on voudrait différentes de celles voulues par Dieu, ne Lui plaisent pas et Il ne les laissera pas se multiplier. Le temps est arrivé pour Lui de laisser le mal s’autodétruire parce que le mal est destructeur, il ne peut donner du bien.
Soyez forts, Mes enfants, gardez votre courage car les maux vont s’accumuler et leur éclatement est proche. C’est le propre du mal de se fissurer, de se démolir, de se réduire. Il faut que cela se passe ainsi mais Dieu ne vous oublie pas. Il est auprès de vous, alors vous aussi, allez auprès de Lui, à l’église, et puisez auprès de Lui le courage qu’Il vous donnera, la paix qu’Il instillera en vos cœurs et la force qu’Il ne manquera pas de vous communiquer.
Remerciez-Moi, aimez-Moi et recherchez-Moi, Je suis là !