L’humanité

Dimanche 12 septembre 2021

Confiance et charité

Oui, les temps sont mauvais et il ne faut pas, Mes chers enfants, que vous perdiez votre confiance en Moi. Tout ce qui arrivera est prévu, Je connais l’avenir autant que Je connais le passé, et votre présent à tous M’est connu dans les moindres détails.

Vous êtes à Moi comme Je suis à vous et Je ne vous abandonnerai pas tant que vous Me priez et Me donnerez toute votre confiance. Oui, c’est la confiance que Dieu demande, disait le saint curé d’Ars, et Je vous la demande de manière incessante et permanente. Si quelque chose vous fait peur : confiance ! Si quelque chose vous perturbe : confiance ! Si quelque chose vous agace : calme, maîtrise de vous-mêmes et confiance !

C’est ainsi que, Moi-même, sur la terre, J’ai toujours agi. J’ai beaucoup prêché, Je me suis laissé accaparer par les foules mais jamais ne Me suis-Je énervé. Quand J’étais agressé verbalement, Je répondais posément, quand J’étais fatigué ou même épuisé, Je ne le montrais pas sauf quand, seul avec Mes apôtres, il M’arrivait de M’endormir. Je dominais Mes agacements, Je souriais quand malgré Ma fatigue J’étais harassé, et la bonté avec laquelle Je parlais à tous ne tarissait pas.

C’est ainsi que Je demande à Mes enfants de M’imiter, de prendre exemple sur Moi et sur Ma Mère, la très sainte Vierge Marie, qui, elle aussi, ne se laissait jamais aller. Toujours bonne, toujours accueillante, toujours douce et souriante. Elle rendait service de manière si naturelle que personne ne crut jamais l’importuner. Elle était charitable et rayonnait toujours de la joie de voir ou de revoir autrui.

C’est ainsi, Mes enfants, que Je vous encourage à être vous aussi : toujours disponibles et charitables, toujours fidèles à votre devoir d’état qui vous oblige et qui est votre premier devoir parce qu’il vous lie à Dieu.

Les temps qui s’annoncent difficiles vous donneront bien des occasions de vous montrer charitables et préoccupés de votre prochain ; ne les manquez pas mais s’il vous arrive de les manquer, demandez pardon à Dieu en confession et en votre cœur si l’occasion de vous confesser n’est pas immédiate.

Quand l’orage fondra sur vous, sur votre pays et aussi sur le monde, soyez disposés à penser à votre famille, à votre prochain et à Dieu plus qu’à vous-mêmes. « Dieu premier servi » devrait être la devise permanente de chacun de vous. Et Moi, Dieu, Je vous prendrai contre Mon Cœur et vous préparerai une belle place dans Ma divine Demeure.