Dimanche 7 juin 2020
L’armée de Notre Seigneur Jésus-Christ
Je suis le Très Haut, le Très Bon, le Très Doux mais aussi le Chef, le Maître, le Roi. Ces qualités ne s’opposent pas entre elles, elles se complètent. Le chef qui est bon fera confiance à ses subalternes et si ceux-ci commettent des fautes, Il le leur fait savoir mais sans humiliation. Le chef qui humilie est un dictateur et c’est une faute. Le chef qui rencontre de l’incompétence parmi ses subalternes, placera le fautif à un poste qui lui conviendra mieux compte tenu de cette faiblesse. Si le chef le réprimande mais n’en fait pas plus, la faute – ou d’autres- se reproduira.
Etre chef est un don, être un bon chef est une vertu. Le bon chef se mettra en peine pour ceux qui dépendent de lui, il sera le plus souvent accueillant, souriant, attentif et prévenant. Le bon chef ne se laissera pas débordé car cela serait aussi de sa part une incompétence. L’incompétence est une faiblesse, elle n’est pas en soi un défaut mais elle aura la conséquence de mettre plus en valeur les défauts du chef que ses qualités. Un chef incompétent fait perdre les batailles, or certaines batailles n’ont pas le droit d’être perdues. C’est une question de vie ou de mort.
La mort spirituelle est le résultat de toutes les batailles perdues contre le démon, ses tentations et vos faiblesses, tandis que la vie spirituelle est le résultat de toutes les batailles entreprises et gagnées. Une bataille gagnée est l’œuvre du soldat qui a bien suivi les ordres du chef et s’y est tenu. S’il n’avait pas obéi, il aurait perdu.
Ainsi en est-il de votre vie spirituelle : elle est à gagner, elle est le résultat de batailles et de victoires. Celui qui gagne, gagne le Ciel, celui qui se décourage et abandonne le combat se met entre les mains de l’ennemi.
La vie corporelle est la réplique de la vie spirituelle : si vous gagnez la bataille, vous emportez la victoire et vous conquérez le Ciel. Si vous faiblissez et vous laissez prendre par les tentations et tous les pièges des démons, vous êtes emmenés prisonniers dans les geôles de l’ennemi : l’enfer.
C’est pourquoi il faut toujours suivre les ordres du Chef, Dieu, et les Dix Commandements. Ceux-ci ne sont pas optionnels, ils sont définitifs, c’est un ordre sans exception. « Tu ne tueras pas » est impératif ; tu ne tueras ni ton semblable, quel que soit son âge, ni toi-même. Si tu déroges à cet ordre, tu te mets entre les mains de ton ennemi mortel, le démon. Il est vrai que tu ne devras non plus te laisser tuer. S’il y a un choix obligatoire à faire, il est alors licite de se défendre, c’est ce qu’on appelle la « légitime défense ». Ce droit est pour tous les hommes dès le moment de leur conception jusqu’à leur dernier soupir. Il n’est pas permis de tuer les bébés dans le ventre de leur mère ni les personnes âgées sous prétexte qu’elles sont devenues une charge.
Dieu seul est le Maître de la vie et de la mort physique et Il laisse à l’ennemi de l’humanité, le démon, le soin d’emporter dans ses geôles les hommes qui ne suivent pas Ses Dix Commandements. Relisez-les bien, apprenez-les par cœur, dites-les tous les jours. Aimez à combattre le combat du Chef, Jésus-Christ, Celui qui vous adresse ces paroles. Il vous aidera à devenir des meneurs à votre tour.
Chers enfants, vous faites tous partie de Mon armée. Je vous veux lutteurs agressifs contre le démon, mais doux comme l’Agneau dont Je vous ai donné l’exemple lors de Ma présence sur la terre il y a deux mille ans. J’ai passé en semant le bien, la bonne parole et le bon exemple, J’ai guéri de très nombreux malades, J’ai aussi chassé de très nombreux démons qui s’étaient installés dans les corps des hommes faibles ou mal intentionnés. J’ai acquis une réputation d’Homme Saint et de Guérisseur mais, à cause de Ma divinité, d’autres hommes ne M’ont pas accepté. Ils étaient ceux qui détenaient l’autorité et ils ne voulaient pas de concurrent. Je ne les aurais pas concurrencés, Je les aurais aidés mais ils ont préféré leur propre ennemi, Satan ou Lucifer ou Belzébuth ; et, s’ils ne se sont pas convertis, ceux-ci les auront emportés en enfer, ce funeste sort, si abominable.
Mes enfants, venez dans Mon armée, Je vous veux avec Moi, pour Moi et auprès de Moi. Aimez-Moi, suivez-Moi, luttez avec Moi et faites barrage aux démons qui vous haïssent.