L’humanité

Vendredi 16 octobre 2020

L’histoire du monde se joue maintenant

Que la Bonté de Dieu inonde l’univers, qu’Il soit bien accueilli en tout foyer, en toute maison, en tout pays. La Bonté de Dieu est mal connue, les hommes la dédaignent car ils la croient inexistante. La Bonté de Dieu se voit en réalité en chaque instant de votre vie, elle est en tout et tout ce qui vit dépend d’elle.

La Bonté de Dieu a été marquée en chaque être  humain et tout homme qui a un peu d’amour en son cœur, le tient de Dieu. La Bonté de Dieu a créé le monde et elle y a mis Sa marque en la gravant dans l’âme de chaque être vivant. Les hommes aiment par elle, les animaux aussi, quand ils ont de bons sentiments les tiennent de Dieu.

Le Créateur du monde avait décidé de créer l’homme dans la bonté et malgré le péché originel quand il recherche le bien cette bonté lui est restée. Les hommes qui recherchent le bien, le vrai bien, celui de Dieu, réfléchissent comme un miroir la bonté de Dieu. Oui, cette bonté généreuse est une forme de filiation divine et elle est encouragée dans la pratique de notre belle et lumineuse religion catholique. La générosité est une qualité toute tournée vers autrui et dans la religion catholique, elle est encouragée jusqu’à l’oubli de soi, de sa propre personne.

La vertu de générosité est l’opposé du défaut d’égoïsme où, au lieu de donner, on conserve, on cache, on thésaurise. L’avarice est un péché capital, ce qui veut dire qu’elle est à l’origine de beaucoup d’autres fautes ou imperfections. L’avarice rend l’homme jaloux de ceux qui semblent gâtés par la vie et de tous ceux qui pourraient devenir des concurrents. L’avarice est l’amour de l’argent, or tous les hommes doivent le gagner pour vivre. C’est pourquoi, l’avarice peut toucher tous les hommes s’ils n’y prennent pas garde. Or au cours de Ma vie publique, J’ai mis en garde les hommes contre l’attrait de l’argent.

L’argent est régi par un esprit angélique et cet ange s’appelle Mammon. Cet ange a suivi Lucifer dans son combat contre Dieu et, par conséquent, il est devenu lui aussi avare, très avare. Il veut tout pour lui, l’argent et l’être qui le possède. Il veut tout attirer à lui, les trésors que donne la terre dans ses sous-sols, les minerais, et les hommes qui les convoitent. Les trésors de la terre sont le fruit du temps, de la maturation des couches terrestres et de la fusion de certains éléments entre eux. L’or, l’argent, le platine, le fer, le cuivre, le zinc, pour ne citer qu’eux, sont recherchés pour leur beauté ou pour les façonner.

Toute cette richesse a été confiée à Mammon au temps où il était encore un ange dévoué et obéissant, mais cette richesse fut accaparée par lui dès le moment de sa trahison. Que cette richesse ait déjà été réalisée ou qu’elle n’existait encore que dans la Pensée de Dieu, n’est pas le sujet ici. Mammon, en se révoltant, se l’appropria et se déclara seul dépositaire de toutes les richesses terrestres. C’est ainsi qu’il dévoya le Plan divin qui désirait que tous les biens terrestres soient à tous. Tant que l’homme n’existait pas, la terre portait sur elle ses richesses et elles n’appartenaient qu’au bien commun. Lorsque l’homme fut créé, Dieu lui donna la souveraineté sur la terre et ses biens. Il devenait propriétaire de ce qui avait été décidé sien par Mammon et ce démon entreprit de le débaucher.

Il le rendit orgueilleux de ses biens, avare et rancunier. L’homme ne voulut plus gérer ses biens en patriarche mais en usurpateur. Il s’appropria le bien commun et Mammon l’y encourageait parce que c’était contraire au Plan divin. C’est ainsi que l’inégalité complète entre les hommes se propagea. Puis Dieu donna de grandes qualités humaines à un peuple qu’Il se choisit et ce peuple élu Le trahit à son tour.

Dieu se choisit alors un autre peuple, moins sélectionné, qui se composerait de tous les catholiques et chrétiens du monde. Mais Mammon connaissait les qualités de chaque peuple et il jeta son dévolu sur le peuple qui avait trahi Jésus-Christ comme lui-même avait trahi Dieu. Il lui donna sa promesse démoniaque de lui remettre les biens de la terre en échange de son reniement. Le peuple élu acquiesça et c’est ainsi qu’il propagea son influence sur la terre entière, la dirigeant et la convoitant pour sa propre satisfaction. Jésus-Christ de Son vivant sur la terre n’avait-Il pas dit : « Nul ne peut servir deux maîtres (…) vous ne pouvez servir Dieu et l’argent » (Mt 6, 24).

C’est ainsi que le pouvoir de certains hommes de ce peuple qui avait été élu mais qui avait perdu cette élection dans les faits, s’amplifia et ils devinrent très riches, plus que tout autre être humain et ils utilisèrent cette richesse pour soudoyer des peuples, des gouvernements, des entités économiques. Ils finirent par être les maîtres du monde grâce à la faveur de Mammon et, actuellement – c’est Moi Jésus-Christ qui l’affirme – ils ont toutes les cartes en mains pour jouer la terre. C’est pourquoi, Moi, Jésus-Christ, Seigneur et Maître de la terre par création et par rachat, Je reprendrai Ma terre de leurs mains et y ferai refleurir la charité, l’espérance et la foi.

Ce temps de la reprise de Mon bien ne se fera pas sans douleur pour les êtres qui peuplent la terre mais eux aussi, ils sont nombreux à M’avoir renié. Il faut qu’ils se repentent et qu’ils reviennent à Moi, Je les veux, ils sont à Moi. Nul ne peut servir deux maîtres, ils devront aussi choisir leur camp. Soit ils restent dans l’ignorance et la dépendance de Mammon, soit ils se convertissent et Me reviennent.

Le temps de ce choix arrive, il est déjà là mais peu s’en aperçoivent. Mes enfants, l’histoire des hommes se répète, c’est l’histoire de la lutte du Mal contre le vrai Bien, Jésus-Christ, Dieu. Je vous attends, n’hésitez pas, venez à Moi, Je suis le seul Sauveur, le seul vrai Bien, l’Amour éternel.