Lundi 16 novembre 2020

Leçon de politique sociale

La terre regorge de métaux précieux, de gaz et de toutes sortes de richesses, et les hommes le savent dans leur plus grande majorité. Des extractions se font régulièrement mais bien qu’elles puissent apporter un peu de richesse aux hommes, elles sont majoritairement attribuées aux grands patrons. Ces grands patrons profitent de leur statut et de leur strapontin pour prendre la plus grande part de ces richesses, ne laissant aux employés que leur salaire et peu de profit. Cette exploitation des richesses de la terre, qui est le capital de tous, devrait être redistribuée à tous selon leur implication et leur travail au sein de ces entreprises.

Que les investissements soient rétribués est une bonne chose et que le niveau d’implication de chacun soit dûment partagé en est une autre. Un salaire dans une entreprise porteuse de hauts revenus, devrait être proportionnel à la rentabilité obtenue. Ce serait juste. Que certains hauts revenus s’accompagnent de hauts dividendes est licite si les moins hauts revenus en profitent aussi. Si dans une même entreprise les uns sont heureux, les autres doivent l’être aussi. Le bénéfice est l’affaire de tous. Dans le cas contraire, si une entreprise est en difficulté, les hauts revenus devraient être impactés autant que les revenus les plus bas. Et s’il faut licencier, comment un responsable peut-il le faire sans se restreindre lui aussi ?

Les lois du travail devraient être revues totalement car ce qui est bon pour l’un doit l’être pour l’autre, et si les résultats sont moins bons, les responsables devraient se pénaliser autant qu’ils le font pour les autres. La justice sociale est une vraie justice, elle est à exercer en toutes circonstances. Le bien est pour tous, les difficultés ne doivent pas être assumées par les seuls petits, et les entreprises qui sont vraiment justes – il y en a – assument leurs difficultés au même titre que leurs gains. C’est cela la justice.

Les gouvernements qui freinent le travail et le « pain quotidien » des travailleurs sans mettre un frein notoire et connu de la population, à leurs propres émoluments, commettent une grave injustice et une profonde irrégularité.

La politique est l’affaire de la nation, une autorité qui contrôle et qui abuse est un pouvoir dictatorial qui ne dit pas son nom. Le terme ‘abus de faiblesse’ est la qualité d’une autorité qui abuse de la faiblesse de son prochain or telle est la situation de la France aujourd’hui. L’autorité empêche des membres de la population de se nourrir tout en permettant à des associations de préparer de la nourriture gratuite. C’est anormal. La nourriture gratuite est pour ceux qui ne peuvent la gagner mais empêcher un gain licite pour provoquer la pénurie est criminel. Ce sont donc des autorités criminelles qui ont pris le pouvoir et il faut les déloger.

Que Ma volonté soit faite sur la terre comme au Ciel et que Mon Règne arrive. Ainsi soit-il.